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Faire une différence par notre engagement à bâtir la confiance

Objectif confiance – Mise à jour 2025

Bâtir la confiance envers PwC Canada – notre cheminement

Nous sommes conscients que, pour aider les autres à bâtir la confiance, nous devons nous-mêmes inspirer confiance. L’une des principales étapes de notre cheminement consiste donc à nous responsabiliser en publiant des objectifs sur cinq ans et des indicateurs permettant de mesurer chaque année notre performance à l’égard de nos principaux vecteurs de confiance.

Notre feuille de route reflète notre reconnaissance de l’importance croissante de la confiance, alors que, dans les sociétés du monde entier, la confiance du public envers les principales institutions est en régression. Chez PwC Canada, nous ne sommes pas à l’abri d’une telle situation, et nous savons que nos parties prenantes pourraient nous demander de faire mieux dans certains cas.

Nous nous engageons donc à continuer de mériter la confiance de nos parties prenantes chaque jour, et à prendre immédiatement des mesures correctives de façon responsable si des problèmes surviennent parce que nous n’arrivons pas à faire les choses correctement.

Nous sommes heureux de faire le point sur les progrès accomplis au cours des cinq dernières années. Guidés par un ensemble bien défini d’objectifs dont le terme est prévu cette année, nos efforts ont entraîné des avancées significatives pour les enjeux les plus importants identifiés par nos parties prenantes. Bien que nous reconnaissions qu’il y a des domaines où des améliorations supplémentaires sont nécessaires, le présent rapport d’étape souligne notre engagement à l’égard de la transparence, de la responsabilisation et de l’amélioration continue. Il contient également les mesures prises au cours de l’exercice 2025, soit la période du 1er juillet 2024 au 30 juin 2025.

Compte tenu de l’évolution rapide de la dynamique de marché, nous procéderons, au cours du prochain exercice, à un examen complet du contexte de la présentation d’information et évaluerons soigneusement la meilleure façon d’améliorer notre référentiel d’information. Nous continuerons également d’évaluer la façon dont l’information présentée est interreliée à l’échelle mondiale et locale, de par notre réseau de cabinets.

1. Nos progrès dans l’élimination de nos angles morts

Nous nous sommes responsabilisés tout en aidant les entreprises à s’aligner sur les normes d’information pour obtenir des résultats de meilleure qualité. Dans le cadre de la mise en place du Global Centre for Nature Positive Business de PwC (centre mondial pour l’activité favorable à la nature), qui vise à aider les entreprises dans leurs démarches en faveur du climat et de la nature, nous avons continué de partager des outils de données et des études de cas liés à la nature, qui sont disponibles sur le site Web du Groupe de travail sur l’information financière relative à la nature (Task Force on Nature-related Financial Disclosures – TNFD). Pour notre part, au cabinet canadien, nous avons de nouveau signalé que notre bureau de Vancouver se trouve à proximité de zones clés pour la biodiversité ou d’aires protégées, et nous continuons de mettre davantage l’accent sur la compréhension de nos répercussions physiques sur le milieu naturel environnant. Pour en savoir plus, lisez notre Rapport sur la durabilité du réseau PwC.

Nous avons maintenu notre participation active dans des coalitions visant à promouvoir la durabilité environnementale sur le marché. Parmi celles-ci, mentionnons la Coalition LEAF, un partenariat public-privé visant à protéger les forêts tropicales, la coalition First Movers du Forum économique mondial (FEM), qui rassemble des entreprises utilisant leur pouvoir d’achat pour créer des marchés précoces pour des technologies propres novatrices dans huit secteurs difficiles à maîtriser, et la coalition Clean Skies for Tomorrow du FEM, qui vise à appuyer la transition mondiale vers des carburants d’aviation durables.

PwC maintient également son adhésion et participe activement au Cadre de partenariat pour le renforcement des capacités de l’ISSB, qui vise à appuyer la mise en œuvre de normes de durabilité mondiales. Au Canada, nous avons participé au comité de mise en œuvre du Conseil canadien des normes d’information sur la durabilité (CCNID), afin de développer le cadre institutionnel initial en définissant et en structurant les principales considérations liées à la gouvernance et à la procédure officielle. 

Nous sommes fiers d’accepter les mandats de nos clients et de publier des analyses d’experts qui s’alignent sur nos valeurs et nos engagements en matière de durabilité. Par exemple, ici au Canada, nous administrons le programme Clean Coast Clean Waters de la Colombie-Britannique, qui, depuis 2020, a retiré 215 navires abandonnés et plus de 2 100 tonnes de débris marins sur plus de 6 400 kilomètres de rivage, tout en créant ou en maintenant près de 2 400 emplois bien rémunérés. Nous avons également publié notre Perspectives canadiennes sur les rapports de durabilité en 2025 à l’intention des sociétés ouvertes, de manière à les aider à comparer les progrès réalisés en matière de normes, et nous avons constaté que 70 % des sociétés ne présentent pas les incidences financières potentielles de leurs opportunités liées au climat. Cette constatation met en lumière l’importance d’aligner la gouvernance, la stratégie et la gestion des risques en matière de durabilité avec les paramètres au fil de l’évolution des normes de présentation d’informations.

Nous avons amélioré nos capacités en matière de politique commerciale grâce au lancement du Centre de ressources Tarifs et politiques commerciales, notamment au moyen du déploiement de l’outil exclusif d’évaluation de l’impact des tarifs (ÉIT). Cet outil a permis aux organisations de quantifier avec exactitude leur exposition, en dollars, aux éventuels tarifs douaniers en effectuant des analyses de scénarios exhaustives et en mettant au jour les risques et les opportunités cachés, qui sont propres à leurs activités. Le Centre de ressources continue d’aider les entreprises à évaluer et à gérer les effets des tarifs douaniers sur leur chaîne d’approvisionnement, leur conformité commerciale et leurs stratégies fiscales.

En outre, la plateforme a facilité l’élaboration de plans d’atténuation de l’impact des mesures commerciales et des tarifs douaniers en permettant un examen des principaux fournisseurs, des contrats et des exclusions tarifaires potentielles. Elle a également fourni des analyses détaillées des données de la chaîne d’approvisionnement pour faciliter la prise de décisions éclairées concernant l’approvisionnement, la fabrication et les stocks. Des évaluations de stratégies fiscales ont également été effectuées en mettant l’accent sur les politiques de prix de transfert et les règles s’appliquant aux transactions afin d’étudier l’incidence qu’auront les ajustements de la chaîne d’approvisionnement sur l’impôt sur le résultat. Collectivement, ces efforts ont aidé les organisations à mieux comprendre les enjeux changeants engendrés par les tarifs douaniers et les changements de politiques commerciales au cours de la période et à prendre les mesures nécessaires pour y répondre.

Nous avons continué de donner suite aux commentaires des employés, afin d’ancrer encore davantage la confiance dans la culture du cabinet. La dynamique du marché externe s’est de nouveau traduite par une diminution générale de la confiance envers le leadership des entreprises dans tous les secteurs. Nous n’avons pas échappé à cette tendance.

En effet, notre Indice de confiance du personnel affiche une légère baisse, passant de 72 % à 71 %, contre un objectif de 85 %. Nos employés ont également moins l’impression de bénéficier d’un traitement équitable (à 72 % contre 73 % l’an dernier) et d’être bien traités (à 75 % contre 76 %). Comme beaucoup d’organisations, nous avons repensé notre modèle d’affaires au cours de l’année dernière. Cela s’est traduit par de nouveaux investissements pour transformer la prestation de nos services et qui ont entraîné un ajustement à la baisse de nos effectifs au Canada. Nous avions établi notre cible de 85 % en fonction des conditions du marché. Nous la réévaluerons à l’avenir.

Comme l’an dernier, les commentaires de nos employés laissent entendre que nous pourrions être plus transparents sur la façon dont les décisions d’affaires sont prises et sur les mesures mises en place, en expliquant plus souvent le contexte et les raisons tout en étant clairs et cohérents dans notre manière de communiquer l’information au sein de notre environnement d’affaires. Nous avons également appris qu’il peut y avoir des conséquences involontaires lorsque nous divulguons trop de détails sur les programmes et les initiatives, ce qui peut entraîner une surcharge d’information, même si le tout se fait dans une volonté de transparence. Nous restons donc déterminés à trouver le bon équilibre.

Pour répondre à ces commentaires, nous avons lancé une nouvelle proposition de valeur au personnel (PVP) à l’échelle mondiale et nous nous sommes recentrés sur une approche de coaching renouvelée. Nous avons introduit un nouvel outil de rétroaction qui fournit de précieux renseignements en temps opportun de manière à soutenir le développement de nos employés. Nous avons également lancé des options supplémentaires pour notre prestation de santé mentale globale afin d’offrir un meilleur accès aux services de santé physique et mentale. Nous continuerons de communiquer ce que nous apprenons et notre façon de nous adapter aux commentaires que nous recevons.

Nous avons continué de prendre des mesures en matière de représentativité de nos effectifs pour favoriser une plus grande diversité au sein de nos équipes et avons lancé notre plan d’action pour la réconciliation avec les peuples autochtones. Après avoir atteint la parité hommes-femmes au sein de notre conseil d’administration l’an dernier, nous maintenons cette position (à 50 %). Au sein de notre équipe de direction élargie, nous avons maintenu cette parité à 50 %, en légère baisse par rapport à 56 % l’année précédente. Nous avons aussi légèrement augmenté la représentativité des minorités visibles dans l’équipe d’associés et dans l’ensemble du cabinet (la faisant respectivement passer de 22 % à 24 % et de 47 % à 49 %). Cependant, en ce qui concerne les populations autochtones et les personnes handicapées, la situation n’a pas évolué aussi rapidement dans l’ensemble du cabinet, mais nous restons déterminés à fournir les efforts nécessaires pour accroître la représentativité de ces groupes sous-représentés.

Misant sur les efforts de notre Comité consultatif sur la réconciliation avec les Autochtones, nous sommes fiers de lancer le plan d’action pour la réconciliation avec les peuples autochtones de PwC Canada, ce qui prouve notre engagement à favoriser le respect, la réciprocité et la confiance au moyen de mesures concrètes reposant sur six piliers principaux. Il s’agit notamment de renforcer le leadership et la gouvernance en intégrant les perspectives autochtones, d’améliorer la formation et la sensibilisation culturelle, de recruter et de promouvoir activement les talents autochtones afin d’assurer des possibilités de carrière équitables, de créer un milieu de travail plus inclusif, de faire progresser la réconciliation économique au moyen d’initiatives éducatives et économiques et de soutenir le développement des communautés autochtones. Ce plan exhaustif reflète l’engagement de PwC à l’égard d’une réconciliation véritable et de partenariats solides et durables avec les peuples et les communautés autochtones, et s’appuie sur notre engagement actuel à l’égard du programme Attestation de partenariat en matière de relations avec autochtones (APMRA), qui a été lancé l’an dernier.

Principaux vecteurs de confiance permettant d’éliminer les préjugés inconscients :

  • Avoir des conversations courageuses sur le moment. 
  • Montrer comment les décisions sont prises et les actions sont menées.
  • Traiter nos parties prenantes avec équité et bienveillance (deux concepts différents, mais reliés).
  • Promouvoir un sentiment d’appartenance à PwC Canada grâce à des leaders accessibles et à un sens plus large de la « communauté ».
     

2. Nos progrès dans le maintien de la confiance envers nos compétences

Nous avons continué de renforcer la qualité de l’audit. Le cabinet est également inscrit auprès du PCAOB et soumis à des inspections de son travail d’audit des entités inscrites à la SEC et de leurs sociétés affiliées. La partie 1 du rapport du PCAOB, qui est accessible au public, contient un aperçu des procédures d’inspection et des observations sur les missions inspectées. La partie 1.A présente des commentaires sur les lacunes relevées par le PCAOB dans son inspection des audits d’émetteurs. Une copie intégrale de notre rapport d’inspection de 2024 est disponible sur le site Web du PCAOB à l’adresse www.pcaobus.org. Bien qu’il y ait eu amélioration, nous ne sommes pas satisfaits des résultats de notre plus récente inspection par le PCAOB. Nous avons analysé la cause profonde des problèmes soulevés, nous avons pris des mesures correctives et nous continuons de nous concentrer sur l’amélioration continue. Nous avons également confiance dans notre capacité continue de fournir des audits de qualité. Le cabinet n’a pas fait l’objet d’une inspection du PCAOB en 2025. Il maintient ses inscriptions au CCRC et au PCAOB. Pour en savoir plus, lisez notre Rapport sur la transparence, qui contient plus de détails sur nos services d’audit et nos services connexes.

Nous avons mené des tests pour renforcer notre engagement à l’égard de l’indépendance. Tous les associés et les employés de PwC Canada suivent une formation chaque année et doivent confirmer qu’ils respectent les aspects de notre politique d’indépendance qui les concernent. Le personnel professionnel est soumis à des tests à fréquence fixe ou aléatoire à cet égard. Les cas de non-conformité externe représentent 0,4 % des tests réalisés, une amélioration constante par rapport à 0,9 % pour l’exercice précédent.

Nous avons renforcé la sécurité psychologique qui sous-tend notre culture du dialogue. Chez PwC, nous nous engageons à mener nos activités selon des normes élevées, ce qui implique de traiter nos collègues, nos clients et la communauté de manière éthique. C’est un moyen important de bâtir la confiance. Notre Indice de liberté de parole est composé des réponses à notre Sondage sur la confiance du personnel, qui évalue le niveau de connaissance et d’utilisation de nos protocoles d’éthique. Ce sondage comprend des normes du secteur servant à mesurer la connaissance des canaux d’escalade ainsi que l’expérience et la satisfaction des personnes qui ont soulevé des questions d’éthique. Les résultats de cette année étaient de 78 % (en légère baisse par rapport aux 80 % de l’année précédente). Nous avons multiplié les efforts pour faire mieux chaque année grâce à une communication accrue, à la formation et à des améliorations continues.

Cette année, nos efforts ont continué de viser à mieux faire connaître les canaux d’escalade à nos employés et à mettre en œuvre les résultats de notre sondage mensuel sur la confiance en prônant la transparence sur le fonctionnement d’une enquête, les délais de réponse et la communication continue avec les parties prenantes. Nous estimons qu’à la suite de cet effort, nos taux de satisfaction dans le sondage ont continué d’augmenter, en particulier en ce qui concerne les situations où des problèmes ont été soulevés au sein de notre structure de coaching et ont été immédiatement transmis à notre équipe responsable de l’éthique centralisée. Cela reste un domaine d’amélioration continue et nous augmenterons nos communications et notre formation à l’échelle du cabinet au cours de la prochaine année.

Nous avons renforcé notre engagement à l’égard de la qualité et du respect des normes professionnelles de notre réseau. La qualité et la conformité sont au cœur de notre mission, en plus d’être la priorité de nos parties prenantes. Nos indicateurs de la qualité et de la conformité des missions reflètent nos valeurs et notre culture de la transparence et de l’amélioration continue. Cette année, nous avons enregistré une légère augmentation du nombre d’heures. Nous avons également continué à mettre l’accent sur les revues préalables à la délivrance, notamment les tests et la surveillance de notre système de contrôles de la qualité. Cela reflète l’évolution continue des normes et des attentes du marché tant à l’échelle nationale qu’internationale.

Nous sommes en mesure d’identifier rapidement les risques et les problèmes potentiels en les abordant de manière proactive plutôt que réactive grâce aux ressources compétentes que nous consacrons à la conformité et à la qualité. Cela empêche les problèmes de s’aggraver et garantit que nos clients reçoivent le plus haut niveau de service. 

Nous sommes déterminés à maintenir notre solide bilan qui dépasse nos objectifs de l’exercice 2025. PwC Canada se conforme au code de conduite de notre réseau, et nous respectons ses normes et ses valeurs professionnelles dans chacune de nos interactions quotidiennes avec nos parties prenantes.

Nous avons doublé les investissements dans l’intelligence artificielle (IA) et la cybersécurité. Dans le cadre de son investissement précédent annoncé de 200 millions de dollars pour accroître ses capacités en IA, PwC Canada a été l’une des premières organisations canadiennes à mettre en œuvre des outils et des technologies d’IA générative, avec le déploiement de Copilot pour Microsoft 365 à l’échelle du cabinet. L’adoption par PwC de cette technologie novatrice à l’échelle du cabinet renforce son alliance avec Microsoft et souligne un engagement à étendre la portée des offres d’IA et à guider ses clients et communautés dans leur transformation numérique.

Nous avons également publié notre deuxième rapport Baromètre mondial de l’emploi en IA et les résultats montrent que l’IA rend les travailleurs plus valorisés, plus productifs et mieux en mesure d’obtenir des avantages salariaux plus élevés, et le nombre d’emplois croît même dans les postes considérés comme les plus automatisables. Le rapport est basé sur l’analyse de près d’un milliard d’offres d’emploi sur six continents et révèle que depuis la prolifération de l’IA générative en 2022, la croissance de la productivité a presque quadruplé dans les secteurs les plus exposés à l’IA (p. ex., services financiers, édition de logiciels), passant de 7 % entre 2018 et 2022 à 27 % entre 2018 et 2024. À l’opposé, le taux de croissance de la productivité dans les secteurs les moins exposés à l’IA (p. ex., extraction minière, hébergement) a diminué de 10 % à 9 % au cours de la même période.

PwC Canada a lancé la première solution de certification au pays conçue spécifiquement pour les systèmes d’IA, répondant ainsi à la demande croissante de transparence et de confiance dans les technologies d’IA. Cette solution aide les organisations à évaluer la fiabilité, l’équité et la conformité de leurs modèles d’IA en appliquant des méthodologies de certification rigoureuses adaptées aux risques et aux complexités uniques de l’IA. En offrant une validation indépendante, l’offre de PwC Canada aide les entreprises à renforcer la confiance des parties prenantes et à répondre aux exigences réglementaires émergentes liées au déploiement de l’IA.

L’ensemble de ces investissements sous-tend les conclusions de notre sondage Global Digital Trust Insights 2025, qui a révélé que les quatre cinquièmes (77 %) des organisations s’attendent à ce que leur budget consacré à la cybersécurité augmente au cours de l’année à venir.

Principaux vecteurs de maintien de la confiance par nos compétences :

  • Adapter nos services à l’évolution de la déontologie dans les affaires pour conserver notre place de leader.
  • Livrer les produits et services de qualité que nos parties prenantes attendent.
  • Prendre des positions claires, agir selon nos valeurs et tenir nos promesses.
     

3. Nos progrès à l’égard des principales attentes de base de nos parties prenantes

Nous avons poursuivi nos efforts pour atteindre nos objectifs en matière d’équité salariale et de transparence. En 2022, nous avons entrepris une analyse exhaustive sur deux ans de notre situation en matière d’équité salariale. Nous nous sommes également fixé des objectifs ambitieux pour la rémunération équitable des femmes et des minorités visibles et les avons rendus publics. Nous sommes fiers de ce que nous avons accompli. Au cours de la dernière année, nous avons continué de peaufiner nos programmes de rémunération afin d’améliorer la cohérence entre les compétences et les échelons. Nous avons également continué de cerner et de suivre les facteurs qui pourraient contribuer aux écarts salariaux, afin de nous assurer de la progression vers une rémunération juste et équitable pour tous.

Dans le cadre de ce processus, nous avons travaillé avec notre groupe d’analytique de données pour revoir et continuer à optimiser notre modèle statistique, afin qu’il reflète mieux les variables connues, comme l’emplacement, l’expérience, la scolarité et la performance. Nous pouvons ainsi continuer de démontrer l’incidence de différents facteurs sur la rémunération et la façon dont leur influence peut varier selon les échelons et les compétences. Nous reconnaissons que ce travail continuera d’évoluer et que nous devrons toujours en faire plus pour approfondir notre compréhension et mettre en œuvre des plans dans l’ensemble des lignes de services et des échelons de notre cabinet.

Nous avons renforcé nos cibles net-zéro à court terme tout en investissant dans de nouvelles plateformes d’IA liées au développement durable. PwC s’est engagé à l’échelle mondiale à atteindre la carboneutralité d’ici 2050 au moyen de cibles à court terme (2030) et à long terme fondées sur la science et validées par la Science Based Targets Initiative. Le réseau de PwC travaillera également à appuyer nos clients dans leurs efforts à cet égard, à contribuer à l’élaboration de politiques publiques appuyant les objectifs net-zéro et à décarboner nos activités et notre chaîne d’approvisionnement. Pour réduire ses répercussions dès aujourd’hui, PwC compensera ses émissions grâce à des crédits de carbone de grande qualité, et passera complètement aux crédits d’élimination du carbone d’ici l’exercice 2030.

Dans le cadre de nos efforts pour responsabiliser le cabinet et son personnel au Canada, nous avons continué de mettre en place de nouveaux contrôles liés à la réservation de voyages, pour nous aider à atténuer les augmentations des émissions dues aux déplacements en avion. Nous avons continué à prendre des mesures pour intégrer des budgets de carbone dans chacune de nos lignes de service, mais nous avons légèrement dépassé notre plafond global d’émissions de carbone (11 499 tonnes d’équivalent CO2 contre notre plafond de 50 % de 11 000 tonnes d’équivalent CO2), principalement en raison de l’augmentation des voyages d’affaires proportionnelle à la croissance de nos activités et à notre travail auprès des clients sur le marché.

Dans le cadre de notre objectif d’amélioration continue, nous avons mis en œuvre une nouvelle plateforme de données basée sur l’IA pour analyser en temps réel la modélisation du carbone et nous aider à améliorer nos analyses prédictives. Cet investissement, combiné à des contrôles internes supplémentaires, nous a permis de renforcer la qualité de nos données et de nos informations globales sur les émissions afin de gérer de manière proactive les initiatives commerciales nouvelles et existantes.

Nous avons également dépassé notre objectif de perfectionner les compétences numériques d’au moins deux millions de Canadiens. Grâce au temps et aux ressources que nous avons investis pour donner les moyens à nos employés de mettre leurs compétences à profit par le biais de nos programmes de retombées sociales, nous avons dépassé notre objectif un an plus tôt que prévu et formé plus de 2,3 millions de bénéficiaires cumulatifs dans le cadre de nos programmes de perfectionnement des compétences numériques que nous avons maintenus au cours de l’exercice 2025. 

En plus de nos investissements pour le bien public, nos employés ont consacré plus de 42 000 heures de bénévolat l’année dernière pour soutenir des initiatives comme des ateliers de perfectionnement technologique pour les organismes sans but lucratif, les entreprises à vocation sociale et les microentreprises, de l’accompagnement pour les nouveaux venus sur le marché du travail et du mentorat pour aider des personnes à acquérir des compétences en sciences, en technologie, en ingénierie et en mathématique.

Notre équipe s’est également concentrée sur le renforcement de la capacité et de la résilience du secteur des OSBL au Canada en effectuant une analyse économique de l’impact des tarifs américains sur le secteur canadien des OSBL. Notre publication fournit des renseignements et conseils pratiques aux décideurs publics, donateurs, investisseurs, et membres du conseil d’administration et de la haute direction d’OSBL pour les aider à combler les lacunes actuelles et à atténuer l’impact possible des besoins futurs. Le secteur canadien des organismes sans but lucratif traverse actuellement des difficultés financières importantes, compte tenu des récentes mesures tarifaires qui risquent de se solder par une baisse du PIB de 126 millions de dollars et par une diminution des dons de 100 millions de dollars cette année. 

Nous avons continué de renforcer notre impact économique. Dans le cadre de notre engagement à payer notre juste part d’impôts afin de bâtir une économie forte et résiliente pour tous, nos services spécialisés en politique et économie canadienne nous aident chaque année à quantifier notre impact direct, indirect et induit. Cette année, notre contribution au produit intérieur brut du Canada a continué d’augmenter, de même que notre impact sur les revenus du travail et les recettes fiscales du gouvernement, ce qui reflète les investissements actuels qui ont été réalisés pour transformer nos services et suivre l’évolution des exigences concurrentielles du marché.

Informations clés répondant aux attentes de base de nos parties prenantes :

  • Information sur les enjeux ESG
  • Équité salariale
  • Croissance rentable et durable du cabinet
     

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James Temple, FEA

James Temple, FEA

Chef, Durabilité, PwC Canada

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