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Les fusions et acquisitions au Canada en 2026

Une création de valeur qui stimule les transactions

Après avoir atteint des sommets historiques en 2021, tant sur le plan du volume trimestriel que de la valeur des transactions, et connu un ralentissement marqué pendant la majeure partie de 2023 et en 2024, le marché canadien des fusions et acquisitions a retrouvé une assise plus stable en 2025. Au cours des derniers trimestres, la tendance est à une activité de fusions et acquisitions régulière et soutenue, exempte de fluctuations prononcées.

Du 1er juillet au 30 septembre 2025, 642 transactions ont été réalisées au Canada pour une valeur totale annoncée de 138.8 G$, selon notre analyse des données de CapitalIQ. D’après nos prévisions, le marché canadien des fusions et acquisitions continuera sur cette lancée, le volume des opérations devant demeurer stable au cours du premier semestre de 2026.

Nous constatons que les investisseurs adoptent une approche prudente dans le contexte de l’incertitude persistante entourant les tarifs et les dynamiques géopolitiques. Toutefois, les transactions locales – soit celles où des acheteurs canadiens investissent dans des cibles canadiennes – gagnent en vigueur. Ces transactions représentent la moitié de l’activité de fusions et acquisitions au Canada et devraient continuer de dominer le marché en 2026. 

Volume et valeur des transactions canadiennes par trimestre

*Les chiffres prévus pour le quatrième trimestre sont estimés en fonction du rythme annualisé pour octobre à novembre. Les résultats réels pourraient différer.

Dans les prochains mois, la création de valeur sera au cœur des priorités des investisseurs canadiens à l’heure où ils s’adaptent à un contexte de fusions et acquisitions incertain. L’incertitude géopolitique et les changements démographiques continueront d’influencer les dynamiques du marché. L’engagement du gouvernement envers l’investissement dans des initiatives audacieuses en matière d’infrastructures et dans des secteurs prioritaires comme la défense – ainsi que dans des technologies disruptives comme l’IA, l’IA agentique et la technologie quantique – incitera également les entreprises canadiennes à envisager une réinvention pour créer de la valeur.

Dans cette édition de notre compte-rendu annuel sur les fusions et acquisitions, nous analysons les principales tendances et thématiques que nous observons sur le marché canadien des fusions et acquisitions et examinons comment elles préparent le terrain pour que les investisseurs créatifs et opportunistes puissent tirer parti de nouveaux domaines de croissance.

Un virage sectoriel imminent en matière de transactions

Les perspectives de croissance de l’économie canadienne demeurent ternes. Au troisième trimestre de 2025, le PIB réel a atteint 2,6 % (en rythme annualisé), selon Statistique Canada – ce qui a entièrement compensé le recul observé au deuxième trimestre. Toutefois, l’estimation préliminaire de Statistique Canada indiquant une croissance négative en octobre – combinée aux préoccupations concernant la baisse des emplois à temps plein, surtout dans les secteurs vulnérables à l’incertitude commerciale – nous laisse croire que la croissance moyenne du PIB pour les prochains trimestres aura du mal à dépasser 1,0 % sur une base annuelle.

Dans cette conjoncture économique difficile, l’inflation devrait se maintenir autour de 2 %, tandis que le taux de chômage restera probablement assez élevé, à environ 7 %, pour le reste de 2025 et en 2026. Cette combinaison de facteurs devrait inciter la Banque du Canada à poursuivre la réduction de son taux directeur, qui devrait se maintenir entre 2 % et 1,75 %. Toutefois, nous ne prévoyons pas de baisse correspondante des rendements des obligations d’État à long terme, les investisseurs mondiaux en obligations étant de plus en plus préoccupés par la dette et les déficits publics – ce qui ne permet pas d’entrevoir d’allègement notable des coûts de financement à long terme.

Les perspectives économiques sont particulièrement incertaines pour les entreprises des secteurs de la fabrication industrielle et de l’automobile. D’après notre sondage sur l’impact des tarifs, 24 % des répondants de ces secteurs estiment que la viabilité économique de leur entreprise pourrait être de deux ans ou moins, tandis que 42 % indiquent qu’elle pourrait être inférieure à dix ans. Ces entreprises reconnaissent que la rapidité est essentielle pour infléchir cette trajectoire, l’envergure limitée ou l’incapacité à se réorienter étant susceptibles d’entraîner des difficultés financières ou une érosion importante de la valeur d’entreprise. Parmi les répondants, 34 % envisagent de recourir aux fusions et acquisitions – que ce soit par la vente ou l’achat – ainsi qu’à des partenariats.

La grande incertitude qui règne sur le marché donne à penser qu’au Canada, bon nombre des opportunités d’affaires transformatrices seront stimulées à court terme par des initiatives gouvernementales. Le budget fédéral de novembre 2025 a mis en évidence les principales priorités du gouvernement – défense, énergie, minéraux critiques, intelligence artificielle et logement – ainsi que les investissements pour les soutenir. L’ampleur de ces engagements devrait encourager les investissements et les transactions du secteur privé dans ces domaines prioritaires, ainsi que chez des organisations d’autres industries qui cherchent à rapidement réinventer leur modèle d’affaires au moyen d’une réorientation vers ces secteurs ou leurs chaînes d’approvisionnement. 

Pleins feux sur la défense – renforcer l’état de préparation en défense

D’après nos analyses, plus de 1 000 G$ seront investis dans le secteur de la défense au cours des dix prochaines années. Un montant de plus de 81 G$ a été attribué à la défense dans le budget fédéral de 2025. La modernisation et l’expansion des capacités de défense du Canada nécessiteront des investissements dans l’ensemble de l’écosystème de la défense – qu’il s’agisse de la mise à niveau des équipements, de la construction de nouvelles installations ou du recrutement et du soutien du personnel. Ces investissements devraient créer des conditions très favorables non seulement pour l’aérospatiale et les fabricants de véhicules, mais aussi pour les acteurs des secteurs des infrastructures, des technologies, du vêtement, de l’équipement, des services alimentaires et de nombreux autres.

Pour mieux comprendre l’ampleur de ces investissements, précisons qu’en 2035, les dépenses annuelles en défense représenteront 200 % du niveau d’investissement observé durant le boom pétrogazier qu’a connu l’Alberta en 2012 et 2013. D’après l’Annual Alberta Labour Market Review de 2013 du gouvernement de l’Alberta, ce boom avait généré environ 115 000 emplois par an et attiré des talents de partout au pays vers cette province. Le doublement de ce niveau d’investissement dans le cadre de l’accélération de l’état de préparation du Canada en défense s’accompagnera vraisemblablement d’un volume important de transactions pour atteindre les résultats et les capacités souhaitées.

Bien que le gouvernement s’engage à réaliser des investissements majeurs en défense au cours des dix prochaines années, un défi de taille sera la capacité de la base industrielle du secteur privé canadien à répondre aux besoins nationaux en matière de défense et aux impératifs croissants d’approvisionnement des forces armées. Historiquement, les entreprises canadiennes du secteur de la défense ont mené bon nombre de leurs opportunités d’affaires au sud de notre frontière, tandis que les sociétés fermées et les sociétés soutenues par du financement institutionnel ont pour la plupart évité ce secteur, en raison de préoccupations liées à la perception du public et aux possibles répercussions en matière de facteurs ESG.

Voilà qui soulève une question cruciale : comment le Canada peut-il respecter ses engagements sans dépendre fortement de ses partenaires traditionnels au sud de la frontière? La réponse passera en partie par une transformation en profondeur de multiples secteurs de l’économie canadienne afin de renforcer l’état de préparation en défense – une évolution qui devrait stimuler de façon marquée l’activité de fusions et acquisitions dans les années à venir. 

Pour mener à bien des changements d’une telle ampleur, il faudra combiner investissements, collaboration et mesures incitatives. Les programmes incitatifs gouvernementaux tendent à refléter les priorités du gouvernement. Pour l’avenir, de nouvelles mesures incitatives viseront probablement les initiatives qui accroissent la productivité et l’automatisation, favorisent la durabilité et soutiennent la diversification des marchés. La défense se situe à l’intersection de ces thèmes.

À mesure que le marché des fusions et acquisitions s’ajustera pour saisir ces opportunités, l’accès aux mesures incitatives gouvernementales – intégrées aux cibles potentielles ou offertes pour financer des projets post-acquisition – contribuera à accélérer les analyses de rentabilité des transactions, soutiendra les évaluations et agira comme catalyseur de l’activité en matière de transactions.

À l’aube de 2026, nous prévoyons une hausse de l’activité de fusions et acquisitions, les entreprises canadiennes rivalisant pour acquérir des capacités liées au renforcement de l’état de préparation en défense ou à ses composantes. Ces acquisitions ne viseront pas le marché américain traditionnel. Une réorientation vers les marchés européens ou d’autres marchés offrant des capacités comparables à celles de l’OTAN est plutôt à prévoir.

Le succès reposera sur la rapidité – pour l’identification, l’obtention et l’intégration des capacités recherchées dans l’ensemble des portefeuilles afin de répondre aux besoins émergents. Dans une ère comme celle que nous vivons – soit un moment déterminant de transformation sectorielle – les enjeux sont élevés. Les gagnants seront bien positionnés pour saisir plus que leur juste part du marché. 

Pleins feux sur l’IA souveraine – affirmer notre souveraineté technologique

Au Canada, l’IA souveraine s’impose comme un pilier de la stratégie économique et sécuritaire nationale, ce qui génère une vague d’investissements publics de plusieurs milliards de dollars dans l’ensemble de la chaîne technologique de l’IA. À l’heure actuelle, les principaux fournisseurs de bon nombre des éléments de cette chaîne – formée des centres de données, des technologies de calcul (puces, informatique quantique, etc.), des réseaux de télécommunications, des modèles d’IA et des applications – sont des multinationales étrangères. 

À ce jour, le gouvernement du Canada a annoncé des investissements dans l’infrastructure d’IA publique souveraine de l’ordre de 2 G$ en 2024 et de 925 M$ dans le budget fédéral de 2025. Ces investissements ciblent principalement les technologies de calcul, l’infrastructure numérique, les plateformes d’IA et la R et D. Du côté provincial, des initiatives ont aussi été annoncées au Québec, en Alberta et en Ontario en vue de la mise en place des infrastructures habilitantes et de l’encouragement de l’adoption par les petites et moyennes entreprises.

Pour 2026, nous entrevoyons une plus grande certitude quant à la portée des ambitions du Canada en matière de souveraineté numérique, motivées par la sécurité nationale, la compétitivité économique et les besoins en matière de protection des données. Les modèles mondiaux offrent des exemples utiles. Aux États-Unis, la loi CHIPS consolide la stratégie de soutien des champions locaux comme NVIDIA et OpenAI et accélère la mise en place des infrastructures du secteur privé pour répondre aux besoins nationaux en IA. D’autres pays, comme la Chine, adoptent une approche dirigée par l’État visant à établir localement une chaîne d’IA complète – qu’il s’agisse de matériel informatique, de plateformes infonuagiques, de modèles de fondation ou de puces – en suivant une architecture à double circulation axée sur l’autonomie et la consommation. Nous prévoyons que le Canada adoptera un modèle hybride – où certaines composantes seront sous contrôle local, tandis que d’autres seront acquises au moyen de collaborations internationales et avec le secteur privé.

Nous avons observé des exemples où de grandes entreprises de télécommunications et des fournisseurs de services infonuagiques du secteur privé ont mis en place des infrastructures d’IA, comme des centres de données, des réseaux de télécommunications, des plateformes technologiques et des solutions infonuagiques. 

Nous anticipons une forte hausse de l’activité de fusions et acquisitions et de la constitution de coentreprises et de consortiums ciblant des cas d’utilisation clés dans l’ensemble de la chaîne technologique qui sous-tend la mise en œuvre de capacités d’IA souveraine fiables et responsables. À prévoir également : une augmentation des fusions et acquisitions dans des domaines habilitants tels que la cybersécurité, la gestion de l’énergie et de l’alimentation électrique, le stockage des données, les semi-conducteurs ainsi que les innovations en matière de refroidissement et de gestion thermique.

Comparativement à d’autres économies avancées, le Canada accuse un retard dans la réalisation de ses ambitions souveraines. Dans un monde où les politiques nationalistes multiplient les obstacles et où l’IA devient un pilier de la prospérité nationale, nous prévoyons des investissements importants et accélérés, de la part tant du secteur privé que du secteur public, en vue de l’établissement des écosystèmes de l’IA.

Pleins feux sur la gestion de patrimoine – un essor et une obligation d’expansion

Le vieillissement de la population et les défis en matière de relève dans les entreprises familiales laissent présager une vague massive de ventes et de transitions d’entreprises au cours des dix prochaines années au Canada. Dans son rapport intitulé Relève des entreprises au Canada : Se préparer au tsunami de successions prévues les dix prochaines années, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante estime que plus de 2 000 G$ d’actifs d’entreprises pourraient être transférés d’ici 2033 en raison de départs de propriétaires. Selon CPA Canada, un transfert additionnel de richesse des baby-boomers de l’ordre de 1 000 G$ est prévu au cours des cinq prochaines années.

Ces tendances en matière de relève créent de puissants moteurs de croissance pour l’industrie canadienne de la gestion de patrimoine, à la faveur de ce transfert intergénérationnel de richesse sans précédent et du potentiel inexploité des segments de marché des conseils aux clients aisés et à valeur nette élevée. Toutefois, parallèlement à ces opportunités, l’industrie est confrontée à des défis croissants – qu’il s’agisse des pressions sur les grilles tarifaires exercées par des solutions à moindre coût, de la compression des marges causée par la hausse des coûts technologiques et réglementaires ou des attentes des clients qui exigent des solutions de conseil en patrimoine entièrement intégrées et « tout-en-un ». L’industrie de la gestion de patrimoine doit également composer avec la question de la planification de la relève, les conseillers vieillissants envisageant eux-mêmes la retraite.

C’est dans ce contexte que nous avons observé en 2025 un niveau d’activité record dans les fusions et acquisitions de l’industrie de la gestion de patrimoine. Les transactions concernaient une gamme diversifiée d’acheteurs, notamment des institutions financières traditionnelles, des courtiers en assurance et des acteurs stratégiques clés. L’acquisition de Patrimoine Richardson par iA a entraîné la création de l’une des plus importantes plateformes nationales indépendantes de gestion de patrimoine au pays. L’acquisition de PWL par OneDigital marque la convergence des domaines des régimes de retraite et de la gestion de patrimoine vers un modèle intégré de conseil englobant le milieu professionnel et personnel.

Les promoteurs financiers demeurent également concentrés sur le secteur, probablement dans le but de reproduire les succès observés sur le marché américain des conseillers en placement inscrits. À titre d’exemple, mentionnons la participation minoritaire de Kelso & Co dans Wellington Altus, une entreprise en forte croissance qui gère des actifs de 40 G$ et dont la valeur a été estimée à 1,5 G$. 

La demande d’actifs de gestion de patrimoine au Canada demeure forte, alimentée par un marché du patrimoine financier en croissance et deux changements structurels qui redéfinissent les dynamiques du marché. Premièrement, les héritiers de la prochaine génération sont de plus en plus sensibles aux honoraires et ouverts aux innovations – comme les modèles hybrides et autogérés – ce qui fait de la personnalisation et de l’accessibilité des facteurs de différenciation majeurs. Deuxièmement, les joueurs indépendants gagnent des parts de marché en offrant une proposition de valeur globale – comme des services de planification, de fiscalité, de succession, d’assurance et de marchés privés – soutenue par des conseillers habilités par la technologie et des équipes multidisciplinaires.

Le secteur de la gestion de patrimoine offre de solides opportunités de croissance organique. Celles-ci peuvent être accélérées par des fusions et acquisitions ciblées visant à accroître la capacité des conseillers, à créer des gammes de produits de premier ordre et à moderniser rapidement la mobilisation des clients.

Pour ce qui est de 2026, nous anticipons une activité soutenue – et possiblement accélérée – de fusions et acquisitions dans l’ensemble des segments de la gestion de patrimoine. Les acquéreurs, qu’ils proviennent de segments directs ou adjacents, chercheront activement à accroître leur taille et à renforcer leurs capacités. Nous prévoyons également la poursuite des regroupements soutenus par des promoteurs, des combinaisons stratégiques transfrontalières, ainsi que des achats sélectifs de réseaux de distribution par des banques et des assureurs afin de réduire le délai d’atteinte des capacités.

Pour les acteurs avant-gardistes, la taille sera un moyen, et non une fin. Les investisseurs privilégieront la croissance organique durable et tireront parti d’un transfert intergénérationnel de patrimoine sans précédent. Ils travailleront également à remodeler le conseil en gestion de patrimoine pour le rendre prêt pour l’avenir – par exemple, en utilisant des données unifiées pour offrir une expérience client plus connectée, en exerçant un meilleur contrôle sur la distribution (et, possiblement, sur la fabrication d’actifs) afin de protéger les marges, et en intégrant des capacités pour proposer des offres globales. 

Une ère de transition et d’opportunités

Malgré l’incertitude économique et géopolitique persistante, nous prévoyons que les fusions et acquisitions au Canada refléteront une normalisation progressive au cours du premier semestre de 2026. Les investisseurs avancent avec un optimisme prudent, maintenant un volume constant de transactions. Toutefois, un examen accru et des contrôles diligents approfondis – combinés à des négociations sur des mécanismes d’établissement de prix tels que les clauses d’indexation (earn-outs) et les structures de contrepartie flexibles – devraient continuer à prolonger les délais de conclusion des transactions.

À l’approche de la fin de l’année, l’attitude attentiste qui a caractérisé le premier semestre de 2025 s’estompe, pour faire place à une approche pragmatique axée sur la création de valeur dans cette nouvelle normalité – qui n’a rien de normal. Compte tenu des changements économiques et démographiques qui redéfinissent l’économie canadienne, des opportunités émergent dans des secteurs clés, que ce soit la gestion de patrimoine, la défense, l’IA souveraine et bien d’autres. Une collaboration de confiance entre le gouvernement et le secteur privé sera un facteur déterminant de la taille et de l’étendue de ces opportunités.

À notre avis, 2026 sera une année de transition où les entreprises chercheront à créer de la valeur et à trouver un nouvel élan – que ce soit en se préparant à la vente au moyen de filialisations, à ces cessions et à l’optimisation des coûts; en se recentrant sur la croissance et la taille pour atteindre leurs objectifs de sortie; en acquérant des capacités pour répondre aux besoins futurs; ou en se réorientant afin de tirer parti des domaines de croissance émergents.

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Les transactions offrent la possibilité d’accélérer la croissance, de renforcer les capacités et d’amorcer une transformation radicale.

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